Souvent, ils émanent des parents des anciens captifs, car ces derniers ont l’interdiction de témoigner sous peine de punitions.
Que puis-je faire pour toi ? » La mère d’un prisonnier israélien à Gaza raconte comment son fils avait demandé aux Brigades Al-Qassam de pouvoir rester auprès de son meilleur ami.
Elle raconte que Yahya Al-Sinwar, le chef assassiné du Hamas, a personnellement demandé à son fils ce qu’il souhaitait et, après avoir entendu sa demande, l’a exaucée en le plaçant auprès de son ami proche pendant sa captivité.
TÉMOIGNAGES D’ISRAÉLIENS PROUVANT QUE LES OTAGES ISRAÉLIENS ONT EN REVANCHE ÉTÉ BIEN TRAITÉS
Le père d’un prisonnier israélien récemment libéré de Gaza lors d’un échange de prisonniers a partagé quelques-uns des « bons moments » vécus par son fils pendant sa captivité au Hamas, notamment une journée agréable à la plage.
Dans une interview accordée à la Treizième chaîne israélienne, Danny Miran, père d’Omri Miran, prisonnier israélien libéré, a déclaré que son fils ne parlait que des « bons moments » de sa captivité à Gaza.
« Il était bien nourri et n’a jamais souffert de faim. Il cuisinait lui-même… Il décidait même des épices qu’ils devaient apporter », a-t-il ajouté. Un jour, ils l’ont emmené à la mer. Il a noué des liens avec de nombreuses personnes et, apparemment, il a tissé des liens partout où il est allé à Gaza.
Hagai Angerst, père du soldat israélien Matan Angerst, a également raconté la captivité de son fils et le traitement humain qu’il a reçu de la résistance. « Il priait trois fois par jour avec un siddour qu’il avait demandé et reçu d’un responsable du Hamas », a-t-il déclaré, ajoutant que son fils « pouvait choisir parmi la nourriture disponible ».
Angerst a expliqué que son fils se déplaçait sans cesse. « Ses conditions étaient difficiles et il craignait davantage les bombardements israéliens que ses gardiens » .
D’anciens prisonniers israéliens, soldats et colons, ont confirmé lors de multiples entretiens que les combattants du Hamas les traitaient avec humanité.
D’anciennes captives ont également fait état de discussions amicales avec leurs ravisseurs.
Depuis la libération du premier groupe de prisonniers, les autorités israéliennes ont imposé un contrôle strict des déclarations des prisonniers libérés.Cette mesure fait suite aux premiers témoignages soulignant le traitement humain réservé par la résistance, contredisant la propagande israélienne.
Omer Shem Tov, l’un des prisonniers libérés lors du cessez-le-feu de janvier, violé par Israël, avait même embrassé le front de deux combattants du Hamas avant sa libération, lors de la remise des troupes.
CAPJPO-Europalestine
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