Drame national dans les rédactions françaises!

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“Panique à la rédaction : Trump a parlé hébreu, les journalistes ont fait une syncope collective”

Abraham C.

Ah, quelle journée d’angoisse à Paris-Plessis-Bobo !
Hier, l’impensable s’est produit : Donald Trump, l’homme orange honni, a foulé le sol sacré de la Knesset. Et là, drame national dans les rédactions françaises: on a vu des éditorialistes s’évanouir devant leurs téléviseurs, des reporters se gifler pour vérifier qu’ils ne rêvaient pas, et un journaliste de Libé murmurer avant de s’effondrer : « Pas lui, pas ici, pas maintenant… »

Parce que voyez-vous, pour nos chevaliers du micro et du verbe moral, il y a trois choses qu’on ne doit jamais faire :
Soutenir Israël.
Sourire à Trump.
Dire la vérité sans trembler.
Et Trump, lui, il a osé les trois d’un coup. Il a dit, sans trembler : « Israël est un miracle. Un tout petit point dans le désert, mais un grand phare pour le monde libre. »
Rien que ça.
À France Inter, on a déclenché le code rouge : “Danger de contamination par le réalisme”.
À Le Monde, on a lancé une cellule psychologique pour journalistes “traumatisés par l’applaudimètre de la Knesset”.
Et chez Mediapart, Edwy Plenel aurait jeté son keffieh au sol, criant : « C’est la fin du monde, même Netanyahou a souri ! »
Trump, en chair, en or et en punchlines, a pris la parole à la Knesset.
Panique à tous les étages : au Monde, le correcteur orthographique a refusé d’associer les mots “Trump” et “Israël” dans la même phrase sans signaler “discours haineux détecté”.
Chez Libé, on a sorti les drapeaux palestiniens à demi-mât et on a décrété trois jours de deuil journalistique.
Pendant ce temps, à France 2, le plateau politique a viré séance d’exorcisme :
“Trump… à Jérusalem… soutenu par des Juifs !”
“Vite, un fact-checker, c’est sûrement un deepfake !”
Pendant ce temps, à Jérusalem, Trump serrait des mains, parlait de paix sans rougir, et riait avec des députés israéliens qui n’avaient pas honte d’aimer leur pays — un concept totalement étranger à certaines rédactions françaises, où aimer son pays est considéré comme une maladie coloniale.
Sur les plateaux, les experts se succédaient :
“Trump à la Knesset, c’est une provocation !”
— “C’est une récupération politique !”
— “C’est une atteinte à la laïcité internationale !”
“Et puis… il a dit Shalom sans accent !”
Panique morale et indigestion idéologique. Les journalistes n’ont pas supporté la scène : un homme qu’ils avaient déclaré mort politiquement… acclamé comme un héros, dans le seul pays du Proche-Orient où les femmes votent et les journalistes respirent librement.
Il y a de quoi perdre la boussole… enfin, s’ils en avaient encore une.
À la fin, sur BFM, un présentateur épuisé a lâché cette phrase d’anthologie :
“Ce qui est le plus grave, c’est que… les Israéliens avaient l’air heureux.”
Le Monde :
“Trump à la Knesset : l’extrême droite prend l’accent biblique.”
Sous-titre :
“Nos envoyés spéciaux sur place confirment : les applaudissements n’étaient pas inclusifs.”’
Au Quai d’Orsay, les capteurs de moraline se sont affolés : le taux d’indignation a dépassé le seuil critique.
Les premières convulsions sont apparues vers 15h12, quand Trump a dit “paix par la force”.
À 15h15, on comptait déjà huit évanouissements, trois crises de nerfs et un diplomate qui, dans un moment d’égarement, aurait murmuré :
“Et s’il avait raison ?”
Avant de s’effondrer.
Le SAMU en renfort
Plusieurs équipes du SAMU ont été dépêchées en urgence.
Selon nos sources, six employés du ministère ont été transportés d’urgence à l’hôpital Henri Mondor, en état de “choc idéologique sévère” et 5 autres a Charenton.
Diagnostic provisoire : crise de dissonance cognitive aiguë.
Symptômes :
Transpiration morale,
Tremblements diplomatiques,
Pertes temporaires de repères géopolitiques,
Et, dans les cas les plus graves, admiration incontrôlée pour Israël.
Une source interne confie :
“On a vu un directeur de cabinet prier pour que l’ambassadeur d’Iran envoie un communiqué, juste pour rééquilibrer l’univers.”
Oui, heureux.
C’est ça, le vrai scandale pour la presse française : quand des gens sourient sans leur autorisation.

Source: Meta

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