Le Hamas aurait recruté des milliers de terroristes pour reprendre le contrôle de Gaza.
Selon un reportage de la BBC, le Hamas aurait réactivé environ 7 000 membres de ses forces de sécurité afin de reprendre le contrôle des zones évacuées par Tsahal. Cinq nouveaux gouverneurs auraient également été nommés, dont certains sont d’anciens membres de l’aile militaire.
Selon un rapport de la BBC, le Hamas s’efforce depuis quelques jours de reprendre le contrôle de plusieurs zones de la bande de Gaza qui ont été récemment évacuées par les forces de Tsahal.
Des sources locales ont rapporté que l’organisation a réintégré environ 7 000 membres de ses forces de sécurité, dans le but de rétablir son contrôle dans ces zones.
Le rapport indique également que le Hamas a nommé cinq nouveaux gouverneurs de districts dans la bande de Gaza. Il s’agit de personnes issues de l’armée, dont certaines ont auparavant commandé des brigades au sein de la branche armée de l’organisation.
La question est : est-ce une info ou une intox relayée par des médias de gauche regrettant la mort du Hamas et espérant sa survie.
« Les chiens du Hamas ne seront pas contents, nous sommes là » : les affrontements s’intensifient dans les rues de Gaza
Des sources palestiniennes signalent un chaos sécuritaire dans la bande de Gaza, alors que des affrontements éclatent entre des terroristes du Hamas et des clans à Beit Lahia et Sabra. Des informations font état de la mort du fils d’un haut responsable du Hamas.
Selon certaines informations, un échange de tirs a éclaté à Beit Lahiya entre des militants affiliés à Ashraf al-Mansi et les forces du Hamas. Parallèlement, un autre affrontement a été signalé dans le quartier de Sabra, à Gaza, entre le clan Djamash (Durhamush) et le Hamas, au cours duquel Muhammad Imad Aqal, fils d’un haut responsable de la branche militaire du Hamas, précédemment éliminé, a été tué. Hier soir (vendredi), les forces du Hamas ont encerclé le quartier familial d’Al-D’Amshah, dans le quartier d’Al-Sabra, à Gaza. Les écoles et les tours ont été évacuées, tandis que des tireurs d’élite et un grand nombre d’hommes armés et masqués étaient déployés dans la zone.
Selon des sources palestiniennes, le Hamas considère les clans rebelles comme une menace directe pour son contrôle de la ville de Gaza. Pendant la guerre, le Hamas a exécuté le chef du clan Djemesh, l’une des familles armées du nord de la bande de Gaza, craignant qu’Israël ne tente de mobiliser ses hommes contre l’organisation. Dans le cadre de ses efforts pour réprimer la rébellion, le Hamas a envoyé des combattants de haut rang tenter d’assassiner Yasser Abu Shabaab , le chef de la milice de Rafah. La tentative d’assassinat a échoué. Au même moment, Hussam al-Astal , commandant d’un groupe armé opposé au Hamas à Khan Younis, a publié un message virulent sur sa page Facebook , attaquant violemment l’organisation. « À tous les rats du Hamas », a-t-il écrit, « les tunnels ont été détruits, vos droits n’existent plus. Repentez-vous avant qu’il ne soit trop tard – il n’y a plus de Hamas à partir d’aujourd’hui. »
Al-Astal a également évoqué les affrontements survenus la semaine dernière, lorsque le Hamas a tenté, selon lui, de lancer une attaque contre le clan al-Mujaidah à Khan Younès. Selon lui, les terroristes de l’organisation se sont cachés à l’hôpital Nasser et dans une mosquée voisine, d’où ils ont tiré des roquettes RPG et des engins explosifs improvisés sur les membres du clan. Selon lui, l’armée israélienne a contribué à l’élimination de la cellule par une frappe aérienne , qui a entraîné la mort d’au moins 22 terroristes. Un porte-parole de l’armée israélienne a confirmé que l’attaque avait bien eu lieu. À la suite de ces événements, des responsables du Hamas ont lancé des appels à la vengeance contre les groupes armés accusés de collaboration avec Israël. Des chaînes affiliées à l’organisation ont rapporté leur intention de régler leurs comptes avec les chefs des groupes, notamment Abou Shabaab, al-Astal, Rami Khalas et al-Mansi.
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