D’après l’administration américaine, un accord de coopération devrait être signé dans les prochains jours, voire dans les prochaines heures, entre Israël et la Syrie (soit le jeudi 25 septembre 2025, soit au plus tard la semaine suivante). Néanmoins, le Premier ministre Netanyahu reste ferme sur les exigences sécuritaires pour le pays, et les deux parties demeurent prudentes.
Un communiqué du bureau du premier ministre Benyamin Netannyahou ajoute que l’issue de ces négociations dépend de la garantie des intérêts d’Israël, qui incluent, entre autres, la démilitarisation du sud-ouest de la Syrie et la garantie de la sécurité de la communauté druze en Syrie, selon le site Internet de Yedioth Ahronoth.
Netanyahu a déclaré dimanche dernier que des progrès avaient été réalisés concernant un accord de sécurité avec la Syrie, mais qu’un accord n’était pas imminent.
De son côté, le président syrien Ahmad al‑Sharaa a affirmé devant l’Assemblée générale des Nations unies que « la Syrie retrouve la place qui lui revient parmi les nations du monde ».
Dans son discours, al‑Joulani a critiqué Israël, affirmant qu’il n’avait cessé de menacer son pays depuis la chute du président Bachar el‑Assad en décembre. Il a ajouté que ses politiques « contredisent le soutien de la communauté internationale à la Syrie et à son peuple », ce qui met la région en danger et pourrait la plonger dans des conflits dont l’issue est incertaine.
Le président syrien a réitéré l’engagement de son pays envers l’accord de désengagement de 1974 avec Israël et a appelé la communauté internationale à soutenir la Syrie pour faire face à ces menaces et respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale du pays.
De son côté, le gouvernement israéliens exige l’accès a un couloir aérien vers l’Iran, Et le maintient la présence de Tsahal dans deux villages. De quoi calmer les ardeurs de l’administration Trump.
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