Jerry Seinfeld a comparé l’antisémitisme de Free Palestine à celui du Ku Klux Klan.

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Lorsque les génériques de films ou de séries défilent sur l’écran, nous nous amusons souvent à repérer les noms juifs qui y figurent. Grâce aux pétitions anti-israéliennes qui circulent dans le milieu du cinéma, on peut désormais s’amuser à repérer les antisémites : les Javier Bardem, les Ken Loach, les Sarandon et les Swinton, et tous ceux qui persistent et signent à déverser leur venin sur Israël.

Leur dernière pétition en date nous fournit un annuaire à jour des racistes du cinéma. Racistes par définition car ils s’en prennent à un peuple entier. Racistes de la plus pure lignée hitlérienne car ils s’en prennent à leurs collègues de la même manière que les nazis qui perpétrèrent une épuration ethnique au sein des milieux artistiques et culturels, interdisant aux artistes juifs de se produire. Racistes islamopithèques qui se rangent du côté d’un assaillant sadique qui souhaite la destruction de l’État juif. Bigots et tartuffes d’une fausse morale, menteurs et imbéciles qui emploient des mots dont ils ignorent le sens, tel que génocide, mais dont ils sont conscients de l’incitation à la haine et à la violence qu’ils causent. Leurs pétitions, déclarations et autres cacas nerveux mettent en danger de vie et de mort des enfants juifs qui sortent de l’école, des jeunes gens portant kippa ou Maguen David, tout en n’apportant aucun secours aux Palestiniens qui leur servent de prétexte et de masque. Comme ils n’apportent aucun secours aux femmes afghanes, aux Soudanais, aux Haïtiens, aux enfants qui meurent de faim au Yémen et au Burundi.

Cette semaine, Jerry Seinfeld a comparé l’antisémitisme de Free Palestine à celui du Ku Klux Klan, en précisant tout de même que le KKK avait au moins la franchise de clamer son racisme. La société américaine de production Paramount a elle aussi condamné ce genre d’initiative en affirmant que la mission du cinéma est de « rapprocher et inspirer, promouvoir la compréhension mutuelle, préserver les moments, idées et événements qui façonnent le monde où nous vivons. »

Et puis, en quoi l’opinion d’un acteur compte-t-elle plus que la vôtre ou la mienne ? En quoi le fait qu’il se dandine devant une caméra lui donne-t-il une quelconque autorité ? Rassurez-vous, les 4000 signataires de l’ultime pétition du septième art sont tous des minables jaloux des récents succès mondiaux des séries et films israéliens. Sachez que 4000 c’est moins d’un pour cent des six cent mille personnes travaillant aujourd’hui dans cette industrie. Sans compter que ce chiffre de 4000 inclut celles et ceux qui veulent se faire bien voir des signataires vedettes, pour obtenir un rôle, un contrat. A l’embauche, mieux vaut se déclarer antisioniste. Et en aucun cas, n’avoir de famille qu’on aime bien en Israël. Être israélien est absolument hors de question. C’est pire qu’avoir un casier judiciaire.


Parmi ces 4000 signataires, il y a énormément de petites mains, allant du machiniste à la femme de ménage, ce qui nous fait 3800 signataires de ratés ou niais pour 200 plus influents et véritables meneurs de pogrom à la cosaque. Cette répartition entre nigauds et salauds est la même que celle constatée parmi les chemises brunes et les jeunesses hitlériennes. Et chez les Palestiniens de même. Lorsqu’il s’agit d’eux, les nigauds qui dansent dans les rues lors d’un massacre de juifs sont des ‘civils innocents’ tandis que les salauds qui le perpètrent sont des ‘militants’.

Ces guignols de la pellicule harcèlent Israël avec la même cruauté, la même lâcheté, que les mioches qui font la honte à un autre enfant qu’ils ont pris pour tête de turc. Notre société est devenue ainsi, en partie grâce au cinéma, à la violence et au langage grossier qui remplissent les salles. Dire le mot f…k tous les trois mots dans un dialogue de film a fini par faire entrer la brutalité du parler dans les mœurs. Alors, f…k you mister Bardem.

Aux Oscars de la haine que je décerne à tous ces gens, je voudrais ajouter un monument emblématique de ce que ces boycotteurs représentent d’abject. De même qu’il y a un mur des Lamentations, je préconise l’érection d’un mur des Expectorations. Un mur sur lequel faire figurer le nom des signataires de ces pétitions à la sauce BDS aux côtés des noms de Sinwar, Eichmann ou Torquemada, sur lesquels le visiteur viendrait cracher. Comme dans le film d’horreur américain « I spit on your grave » (sorti en France sous le tire « Œil pour œil » ) tourné en 1978 puis de nouveau en 2019 par le réalisateur israélien Meir Mizrahi, né à Tel-Aviv. Sauf que ce n’est pas sur des tombes que je crache aujourd’hui, mais sur des cabots qui font honte à leur art. Et à l’humanité.

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