
L’ONU a franchi un nouveau cap. Sa Commission d’enquête, déjà tristement célèbre pour son hostilité obsessionnelle envers Israël, vient d’affirmer que l’État juif commettrait un génocide à Gaza. Une accusation grotesque, intellectuellement malhonnête, qui confine à la parodie. Mais dont les conséquences, elles, sont gravissimes.
« Il n’existe jusqu’à présent aucune preuve concrète qu’Israël commette un génocide tel que défini par la Convention de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide, dont Israël est signataire ».
John Spencer : « Je suis expert de la guerre. Il n’y a pas de génocide à Gaza »
« J’ai dirigé des soldats au combat. J’ai entraîné des unités militaires au combat urbain pendant des décennies et étudié et enseigné l’histoire militaire, la stratégie et les lois de la guerre pendant des années. Depuis le 7 octobre, je me suis rendu à Gaza à quatre reprises, intégré aux Forces de défense israéliennes. J’ai interviewé le Premier ministre israélien, le ministre de la Défense, le chef d’état-major de Tsahal, les dirigeants du Commandement Sud et des dizaines de commandants et de soldats en première ligne. J’ai examiné leurs ordres, observé leur processus de ciblage et vu des soldats prendre de réels risques pour éviter de blesser des civils. Rien de ce que j’ai vu ou étudié ne ressemble à un génocide ou à une intention génocidaire ».
Le génocide, en droit et en histoire, désigne la tentative délibérée d’anéantir physiquement un peuple, en tout ou en partie. Ce fut l’extermination industrielle de six millions de Juifs par les nazis. Ce fut le massacre des Tutsis au Rwanda. Ce fut la tentative d’éradication des Yazidis par Daech. Assimiler ces horreurs à la guerre d’Israël contre le Hamas est une obscénité.
L’objectif d’Israël n’est pas l’extermination : c’est la survie. C’est la protection de ses citoyens après le 7 octobre, lorsque le Hamas a lancé une offensive génocidaire qui a massacré 1 200 innocents en une seule journée. Voilà ce qu’est un génocide : une volonté planifiée, proclamée et mise en œuvre de tuer parce qu’ils étaient Juifs.
À l’inverse, la stratégie militaire israélienne reflète une boussole morale quasiment unique dans l’histoire de la guerre. Israël prévient avant de frapper : évacuations, tracts, appels téléphoniques, SMS. Il expose ses soldats à des pertes colossales en combat urbain pour éviter le tapis de bombes. Si Israël avait voulu raser Gaza, cela aurait pris quelques heures. Sa retenue, coûteuse et douloureuse, démontre précisément l’absence d’intention génocidaire.
Face à cela, le Hamas prospère grâce à la souffrance palestinienne. Il creuse ses tunnels sous les hôpitaux, stocke ses armes dans les écoles, tire ses roquettes depuis les immeubles résidentiels. Sa machine de guerre repose sur un principe : sacrifier ses propres civils pour ensuite exhiber leurs cadavres devant les caméras occidentales. Le seul acteur à Gaza qui recherche délibérément la mort de Palestiniens, c’est le Hamas — pour accuser Israël.
Le récit du « génocide » ne repose pas sur des faits, mais sur une idéologie. Des ONG comme Amnesty International, depuis longtemps dévoyées, produisent des rapports biaisés, déconnectés du contexte. L’ONU les avale, les recycle, et enrobe la propagande du Hamas du sceau de la légitimité. Ce n’est pas la justice : c’est la guerre juridique, la perversion du droit international pour délégitimer l’unique État juif.
Israël ne commet pas de génocide. Son « crime » est plus impardonnable aux yeux de ses accusateurs : il refuse de mourir. Le but de ce mensonge est clair : présenter Israël comme illégitime, préparer son isolement diplomatique, rendre sa légitime défense impossible.
Mais la vérité est têtue. L’ONU peut répéter mille fois que la Terre est plate. Elle peut accuser Israël d’arrêter le soleil, de provoquer le climat, ou même d’avoir inventé le Covid. Elle peut crier « génocide » jusqu’à ce que le mot perde tout sens. Cela ne transformera pas un mensonge en réalité.
La véritable tragédie ne se joue pas seulement à Gaza, mais aussi à New York et Genève, où l’institution censée protéger la paix se rend complice de diffamation. En assimilant Israël aux nazis, l’ONU ne protège pas les Palestiniens : elle piétine la mémoire des vrais génocides et corrompt l’idée même de droit international.
Israël ne combat pas pour détruire un peuple, mais pour que le sien survive. Ce n’est pas un génocide. C’est le droit le plus fondamental de toute nation : exister.
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