Pour l’ImMonde, 4 pages de déchaînements anti-Israël

L’état du Monde. Un nouveau premier ministre nommé, une crise politique inédite sous la 5eme république, un mouvement social majeur et son cortège de violences à venir ou, à deux heures d’avion, un pays membre de l’Otan, La Pologne, attaqué par une escouade de drones russes. Y’avait de quoi titrer.
Mais pour le Monde, l’événement du jour à retenir pour ses lecteurs français, c’est « Au Qatar, Israël pulvérise l’espoir de négociations », suivi de 4 pages de déchaînements anti-Israël jusqu’à en foutre la trouille à Trump.
Et qu’à donc fait Israël pour mériter tel honneur? Juste éliminer les organisateurs et les donneurs d’ordre du massacre génocidaire du 7/10/23 perpertré par les hordes palestiniennes sanguinaires, tortionnaires et barbares du Hamas -civils aussi- assassinant plus de 1200 israéliens, juifs et arabes ainsi que quelques dizaines de travailleurs asiatiques.
Où? Au Qatar, émirat reconnu par tous comme le financier du terrorisme international, le quartier général des Frères Musulmans, l’émetteur du complotisme anti-occidental et antisémite à travers son réseau Al-Djazira, la Mecque de la Taqyya, l’étalon de la corruption…
C’est donc sur ces criminels du Hamas et leur hôtes donneurs d’ordre qatari que le journal le Monde faisait reposer les espoirs de libération des otages qu’ils enferment et torturent maintenant depuis plus de 700 jours. Et, classique inversement de la charge, de la faute -nous y sommes habitués depuis le 8/10/23-, c’est Israël qui en éliminant les responsables de la pire catastrophe de son histoire, « pulvérise » « enterre » les négociations, un vocabulaire choisi pour un pays à vif depuis bientôt deux ans.
Lire chacun des titres de ces 4 pages du Monde pour comprendre la haine d’Israel, et la complaisance avec ceux qui en appellent à sa destruction. Avec une prime pour ce chapô que l’on sent jubilatoire sous la plume de son auteur: « depuis le printemps, les COMBATTANTS du Hamas ont causé plusieurs dizaines de morts parmi « LES FORCES D’OCCUPATION ». Il y a des drones qui se perdent.