Sur la base d’une campagne diffamatoire à l’encontre d’Israël, avec le soi-disant génocide, et la soi-disant famine, Macron surfe sur une désinformation qu’il a orchestrée avec l’AFP, l’aide d’ONG et de médias, pour se faire passer pour un faiseur de paix. Comme si tous ceux qui l’on ont précédés avaient été des incapables, et que lui réussirait là où d’autres ont échoué.
Macron a un énorme problème. Élu président, il quittera son poste en 2027 avec un bilan catastrophique.
- Une dette à plus de 3.500 Milliards d’€.
- Un pays qui travaille très peu (avant-dernier au classement OCDE), et qui exporte peu.
- Un pays où pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, le nombre de décès est plus important que le nombre de naissances, et cela avec 225.000 IVG par an. Cette décroissance est l’expression d’un déclin gravissime.
- Un pays avec près de 10 millions d’immigrés qui font plus d’enfants que les Français de souches. Sur la dernière augmentation de la population en 2023, le solde était de 169.000, dont 152.000 sont des immigrés.
Macron veut compenser ses échecs sur le plan intérieur, par ce qu’il espère être, des succès en politique étrangère. Mais sur ce champ de bataille, il a face à lui Donald TRUMP. Le téméraire Macron pense que « sur un malentendu ça peut marcher ».
Son analyse est simpliste. Pour éviter le règlement équitable, d’un très lourd contentieux, qui se fonde sur un historique de plus de 3000 ans, il suffirait d’imposer à Israël le diktat d’une paix à coup de sanctions, et de pressions diplomatiques au nom de la « morale » et « du droit international ». Le « droit international » auquel il fait référence a été fabriqué par les Occidentaux, pour servir les intérêts des vainqueurs au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Ce droit fait fi du droit historique des peuples, lequel devrait primer. C’est ainsi que les Occidentaux ont découpé des régions entières du monde avec des frontières sans queue ni tête, et la Palestine du mandat britannique n’échappe pas à la règle. Ainsi 75% de la Palestine mandataire a déjà été donnée aux Hussein de Jordanie, avant le partage équitable entre Juifs et Arabes.
Outre le droit, il y a aussi son interprétation, laquelle est spécifique quand il s’agit d’Israël.
Macron a un double objectif : être le défenseur des Arabes de Judée Samarie et de Gaza et leur donner les moyens d’entreprendre les actions terroristes comme ils ont pratiqué de tout temps, et récupérer au passage l’électorat musulman en France.
Les pays arabes n’ont qu’un respect relatif de Macron. Il a voulu jouer aux gros bras au Liban, mais c’est Israël et les États-Unis qui ont dicté leurs lois. La même chose en Syrie, et en Iran. À Gaza c’est cette alliance qui règne. Macron est connu pour être un loser. Mohammed ben Salmane, le Saoudien n’ira même pas à New York pour assister à la comédie française relative à la promotion de la « solution à deux états ». Il y a huit jours des Arabes de Judée Samarie ont déclaré ne pas vouloir de cette solution, préférant traiter en direct avec Israël.
Il n’en demeure pas moins que cette attitude porte un grave préjudice à Israël, et aux Juifs, notamment les Juifs de France qui font face à un antisémitisme légitimé par les pouvoirs publics, et les médias publics. Il n’y a pas un jour sans une ou plusieurs agressions anti-juives, que la justice ne réprime pas. L’affaire des 50 jeunes juifs brimés par le personnel de l’infâme société Vueling, et la Guardia civile, qui s’est conduite comme la Gestapo en dit long sur l’état d’esprit des antisémites en Europe. Le silence des autorités françaises encore plus, s’agissant de jeunes ressortissants français, dont la confession semble justifier le désintérêt que la France a eu à leurs égards, tout comme les Français morts sous la haine des barbares du Hamas, nouveaux protégés de la France.
La réalité, factuelle, doit nous faire réfléchir. Cette haine ne va pas fléchir, bien au contraire. On peut continuer à se faire des illusions comme en 1936, mais il ne faut pas compter sur la population française pour atténuer cette haine. Elle n’est plus celle de 1936, car à l’antisémitisme de droite, il y a l’antisémitisme virulent des islamogauchistes.
JForum.Fr – MCS
La reconnaissance par Macron de la Palestine provoque divisions et embarras dans la classe politique
De LFI qui salue une « victoire morale » à la droite qui parle de « faute politique », la reconnaissance par Emmanuel Macron de l’État de Palestine met à nu des fractures profondes.
es réactions n’ont pas tardé à affluer. Jeudi 24 juillet, Emmanuel Macron a officialisé la reconnaissance par la France de l’État de Palestine, lors de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York. Il a répété « l’urgence de concrétiser cette solution » pour une paix durable au Proche-Orient. Cette décision, évoquée depuis plusieurs mois, a fait réagir la classe politique française.
À gauche, où la reconnaissance d’un État palestinien est défendue de longue date, l’heure est évidemment à la satisfaction. Mais tous appellent le président de la République à aller plus loin. Jean-Luc Mélenchon a, certes, salué une « victoire morale ». Mais le chef de file des Insoumis dénonce « la technique des annonces différées de Macron ».
« Depuis des mois, ce type de comportement encourage la durée du crime à Gaza. Pourquoi en septembre et pas maintenant ? Et l’embargo sur les armes ? Et la rupture de l’accord de coopération ? Nous voulons une politique globale et cohérente. Nous voulons l’arrêt immédiat du génocide. Nous voulons un engagement clair et immédiat contre le crime », a-t-il martelé.
LFI se félicite
Le coordinateur national de La France insoumise, Manuel Bompard, s’est immédiatement réjoui d’une « victoire de la mobilisation populaire ». « Mieux vaut tard que jamais », a ajouté Marine Tondelier, la secrétaire nationale des Écologistes, sur X. Au Parti socialiste, le premier secrétaire, Olivier Faure, « salue la décision du président Macron » mais demande qu’elle soit « assortie de sanctions tant que durera le génocide en cours ». Fabien Roussel, le secrétaire national du PCF, a déclaré que cela fait « deux fois que le président de la République annonce vouloir reconnaître l’État de Palestine ».
Sans surprise, Dominique de Villepin, dont les positions rejoignent souvent celles de La France insoumise sur ce sujet, a salué une décision « historique, attendue et courageuse » qui « honore nos valeurs universelles », tout en estimant qu’elle « oblige immédiatement à agir ».
Le gouvernement au diapason
« Qu’il le fasse, maintenant », a-t-il déclaré, appelant aussi à « sanctionner Netanyahou et son gouvernement ». « La paix ne peut plus attendre. » Les alliés du président de la République ont salué la décision. Le patron du groupe MoDem à l’Assemblée, Marc Fesneau, y voit une « décision historique et tant attendue par le peuple palestinien et tous ceux qui forment le vœu sincère d’une solution à deux États ».
« La solution à deux États, dans des conditions clairement énoncées, est l’unique chemin pour une paix et une sécurité durables au Proche-Orient et la protection des populations civiles », a quant à elle argué l’ancienne Première ministre et membre du camp présidentiel, Élisabeth Borne. Même tonalité pour François Rebsamen, ministre de l’Aménagement du territoire : « Merci au président de la République pour cette parole claire et nécessaire. Seule une solution à deux États pourra apporter une paix durable. »
La droite en colère et le silence d’Attal
Chez Les Républicains, François‑Xavier Bellamy, chef de file du parti au Parlement européen, s’est exprimé sur RTL : « Pouvions‑nous imaginer que le Hamas remercierait un jour la France ? En lui donnant raison, cette décision aggrave le danger pour le peuple israélien comme pour les civils palestiniens, victimes eux aussi de la terreur islamiste. » Il a rappelé qu’Emmanuel Macron avait exigé, il y a quelques mois, pour toute reconnaissance, la libération des otages encore retenus à Gaza ainsi que la reddition du Hamas. Mais Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, est resté silencieux.
Dans le camp présidentiel, Gabriel Attal – député des Hauts‑de‑Seine, président du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée nationale et secrétaire général de Renaissance – est lui aussi resté silencieux, fait rare pour cet habitué des réactions rapides et signe possible d’un certain embarras.
Un Rassemblement national réservé
Le Rassemblement national, qui a cultivé ses relations avec Israël ces dernières années, s’est montré plus réservé. « Reconnaître aujourd’hui un État palestinien, c’est reconnaître un État Hamas et donc un État terroriste », a dénoncé Marine Le Pen sur X, pour qui cette décision constitue « une faute politique et morale, y compris à l’égard des Palestiniens qui subissent le joug du Hamas ».
« Il s’agit d’une décision précipitée, davantage motivée par des considérations politiques personnelles que par une sincère recherche de justice et de paix », a quant à lui réagi le président du RN, Jordan Bardella, qui s’est donc montré plus évasif quant à sa position sur la reconnaissance d’un État palestinien. « Finalement le terrorisme ça paye », lui a tancé le député et vice-président du parti, Sébastien Chenu. « La honte ! » a réagi leur allié de l’UDR, Éric Ciotti.
JForum.Fr – Le Point
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