Intel prévoit de réduire ses coûts opérationnels de 1,5 milliard de dollars sur deux ans et d’ajouter 500 millions de dollars supplémentaires en 2025 et 1 milliard de dollars en 2026. Intel traverse une période de transformation majeure, marquée par des licenciements massifs, une restructuration et un recentrage sur ses activités clés.
Actuellement, il ne fait pas bon être salarié chez Intel. Depuis deux ans, l’entreprise licencie à tout va avec, l’année dernière, une première vague de 10000 à 15000 licenciements. Cette dernière portait le nombre d’employés de la marque à 109000 à travers le monde. Aujourd’hui, nous apprenons qu’une seconde vague a débuté. Cette dernière devrait concerner environ 20% des effectifs de l’entreprise. On parle de 20000 emplois !
Le PDG d’Intel : « La force, la résilience et la détermination de l’équipe d’Intel Israël sont sans limites. »
En début de semaine, des centaines de responsables du développement d’Intel se sont réunis sur le campus de Haïfa pour une réunion exceptionnelle et minutieusement programmée, animée par Karin Eibschitz Segal, vice-présidente et co-directrice générale d’Intel Israël, et Yaron Alankry, vice-président et directeur général du groupe de développement client d’Intel.
Le message de la direction était clair : malgré la vague de licenciements qui touche Intel Israël, les centres de développement locaux restent au cœur des projets de puces les plus avancés d’Intel.
LE PLUS. Intel prévoit des licenciements massifs, potentiellement jusqu’à 20% de ses effectifs, soit environ 20 000 employés. Ces réductions d’effectifs s’inscrivent dans le cadre d’une restructuration plus large, visant à améliorer l’efficacité et la compétitivité de l’entreprise, notamment dans sa division de fabrication de puces, Intel Foundry.
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