Guterres, de l’ONU, ne déteste que les Juifs israéliens, pas les diplomates
Par Paul Gherkin-
Le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, est avant tout un homme politique, et non un être humain. Quelles autres raisons peuvent l’empêcher d’observer le massacre de 1 200 personnes en Israël, l’incendie de villes entières, le viol de femmes et l’enlèvement de 250 personnes, si ce n’est pour servir ses concitoyens du Sud, dont il a appris qu’ils étaient des antisémites acharnés ?
Lorsqu’un djihadiste socialiste radical a abattu deux jeunes diplomates israéliens lors d’une manifestation juive à Washington, en mai 2025, Guterres a immédiatement publié une déclaration condamnant ces meurtres. Il ne l’avait pas fait après le massacre en Israël du 7 octobre 2023. Ni du 8 octobre, ni du 9 octobre, ni du 10 octobre.
Mais il s’est montré à la hauteur en mai 2025 après l’assassinat ciblé du couple israélien par un fou hurlant « Libre, libre Palestine ! », comme s’il était entouré d’agitateurs fantômes sur les campus universitaires. Anticipant peut-être les représailles de la horde anti-israélienne qu’il dirige (lire sert), Guterres a expliqué cette déclaration comme « réitérant sa condamnation constante des attaques contre les diplomates ».

Ce meurtrier antisémite devrait être traduit en justice, car il a tué des diplomates, un acte absolument inacceptable. Dans ces circonstances, l’ONU « exprime sa sympathie au gouvernement israélien », car ce sont des membres du cercle sacré des hauts fonctionnaires gouvernementaux qui ont été abattus, et non des Juifs prenant leur petit-déjeuner avec leurs enfants dans leur cuisine.
Les milliers de personnes massacrées et blessées en Israël par plus de 3 000 Gazaouis en octobre 2023 n’étaient que des Juifs et ne méritaient donc aucune compassion de la part des Nations Unies. Guterres n’a pu adresser aucune condamnation ni aucun réconfort à l’État juif pour une telle barbarie ; il a été formé à cela par les pays du Sud. Son bureau n’exigerait pas que des milliers de Gazaouis soient « traduits en justice » ; ils sont les protégés de l’ONU .
Lorsque le chef des Nations Unies a expliqué au monde qu’il avait décidé de condamner rapidement le meurtre de deux Israéliens alors qu’il avait ignoré le massacre de 1 200 autres, en raison de l’unité entre les diplomates, il a encore davantage exposé la profonde inhumanité de cette institution mondiale cancéreuse.
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{Reposté depuis le blog de l’auteur }
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