Deux agents de l’ambassade israélienne aux États-Unis ont été tués dans la soirée de mercredi à jeudi à Washington, alors qu’ils sortaient d’une réception de diplomates de l’État génocidaire organisée dans le Musée Juif de la capitale américaine.

Le suspect de la fusillade, nommé Elias Rodriguez, âgé de 30 ans, a déposé son arme après les tirs, et s’est laissé arrêter sans opposer de résistance, criant « Free Palestine » au moment où il était emmené par la police, rapportent les médias outre-Atlantique.
Attentat « antisémite » ? C’est ce que hurlent les dirigeants israéliens et leurs collaborateurs un peu partout dans le monde depuis le milieu de la nuit.
En l’état des informations avérées jeudi matin, rien ne permettait d’indiquer que telles étaient les motivations de l’auteur des coups de feu.
Mais il est vrai qu’à force d’entretenir en permanence la confusion entre ce qui est « juif » et ce qui représente l’État génocidaire israélien, le raccourci, empoisonné, est exploité à volonté. En Israël, l’un des premiers à réagir à l’attentat de Washington a été un parlementaire de l’opposition, le député et ancien général Yair Golan, peu suspect d’un quelconque antisionisme. « Le gouvernement de Netanyahou est par ses actions le premier à nourrir l’antisémitisme et la haine d’Israël dans le monde », a-t-il tout simplement constaté.
CAPJPO-Europalestine
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