Scientifiques : Nous avons trouvé « l’Arche de Noé » qui a sauvé l’humanité il y a 5 000 ans
Des tests effectués sur le navire ont montré que le sol contenait des traces de matériaux argileux, de sédiments marins et même des restes d’organismes marins tels que des mollusques.
Un groupe de scientifiques internationaux a confirmé avoir trouvé des preuves confirmant la découverte des restes de l’Arche de Noé, qui a sauvé l’humanité il y a plus de cinq mille ans du déluge massif qui a frappé la Terre, et qui est mentionné dans la Bible, le Coran et d’autres livres sacrés.
Selon les informations publiées par le journal britannique « Daily Mail » et examinées par « Al Arabiya Net », une équipe de recherche internationale de plusieurs pays est parvenue à cette conclusion, déterminant que les restes de ce navire ont été retrouvés dans une région reculée de Turquie. Le journal a également révélé que des travaux sont en cours pour transformer le navire en une attraction touristique afin que des personnes du monde entier puissent le voir.
Des scientifiques affirment avoir découvert en Turquie un monticule en forme de bateau qui a coulé il y a 5 000 ans, à la même époque que le grand déluge mentionné dans le Coran et la Bible.
Une équipe internationale de chercheurs affirme qu’un monticule en forme de bateau situé à 30 km au sud du mont Ararat en Turquie est en fait les restes fossilisés d’un navire en bois.
Cette colline s’appelle la formation de Durupinar et est une formation géologique de 163 mètres (538 pieds) de haut constituée d’un type de minerai de fer appelé limonite. Cette structure a depuis longtemps suscité l’intérêt des chercheurs, car sa forme et sa structure sont presque identiques à ce qui est mentionné à propos du navire dans le Coran et la Bible.
Selon un rapport du Daily Mail, de nouvelles preuves suggèrent que cette colline a effectivement été soumise à une inondation dévastatrice il y a 5 000 ans. Ce récit s’accorde avec le récit religieux d’un déluge qui a recouvert la région entre 3 000 et 5 500 av. J.-C.
« Nos études montrent que cette zone abritait des gens à l’époque et qu’elle a coulé à un moment donné, ce qui soulève la possibilité d’une catastrophe massive », ont déclaré les chercheurs.
Les dimensions de la formation constituent l’un des arguments les plus convaincants en faveur de la théorie de l’Arche de Noé. La Bible décrit l’arche comme mesurant « trois cents coudées de longueur, cinquante coudées de largeur et trente coudées de hauteur ». En utilisant la coudée égyptienne standard de 52,4 cm, cela correspondrait à environ 157 mètres de longueur, proche des 164 mètres de la formation de Durupinar.
Malgré ces objections scientifiques, l’équipe de recherche sur le mont Ararat et l’arche de Noé continue d’enquêter sur le site et collecte des fonds pour un centre d’accueil des visiteurs, selon le Daily Mail .
La formation a été découverte pour la première fois en 1948 par un agriculteur kurde et fait depuis lors l’objet de recherches et de débats continus, les communautés religieuses et scientifiques suivant de près les nouveaux développements de ce mystère archéologique.
Depuis 2021, une équipe de recherche conjointe de l’Université technique d’Istanbul, de l’Université Agri Ibrahim Cegin et de l’Université Andrews aux États-Unis étudie le site sous la supervision de l’équipe de recherche sur le mont Ararat et l’arche de Noé.
JForum.fr avec Zniv et ILH
Crédit : Al Arabiya
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