Le laxisme des Européens, entraine tout l’occident à sa perte, face à l’alliance Chine Russie Iran. Macron l’idiot utile de cette déchéance, en fait son moyen d’accéder dans deux ans à la tête de l’Europe. Après avoir ruiné la France, il veut le leadership en Europe pour mieux la dézinguer. C’est dans cette perspective que Trump veut se séparer du boulet Ukrainien.
L’Iran, la Russie et la Chine vont mener des exercices militaires conjoints
La Russie, la Chine et l’Iran annoncent mener conjointement des manœuvres militaires à partir du 11 mars 2025. Ces exercices, essentiellement maritimes, se dérouleront dans la région nord de l’océan indien.
Les forces maritimes de l’Iran, de la Russie et de la Chine vont mener mardi des exercices militaires au large des côtes iraniennes dans le sud-ouest du pays afin de « renforcer la sécurité régionale », a rapporté dimanche l’agence de presse iranienne Tasnim.
Les forces maritimes de l’Iran, de la Russie et de la Chine vont mener mardi des exercices militaires au large des côtes iraniennes dans le sud-ouest du pays afin de « renforcer la sécurité régionale », a rapporté dimanche l’agence de presse iranienne Tasnim.
Une volonté de contrer « l’hégémonie américaine »
Les trois pays, qui partageant une volonté commune de contrer ce qu’ils présentent comme l’hégémonie américaine, avaient déjà organisé ces dernières années des exercices similaires dans la région.
Les manœuvres « débuteront mardi dans le port de Chabahar », situé dans le sud-ouest de l’Iran et qui donne sur la mer d’Oman, a indiqué Tasnim, sans préciser leur durée.
« Des navires de combat, de soutien des forces navales chinoises et russes, ainsi que de navires de l’armée iranienne et des marines des Gardiens de la Révolution », l’armée idéologique de l’Iran, participeront aux exercices, a souligné l’agence de presse.
Les exercices se dérouleront « dans la région nord de l’océan Indien » et visent à « renforcer la sécurité dans la région, et d’élargir la coopération multilatérale entre les pays participants », selon Tasnim.
Des observateurs internationaux
L’Azerbaïdjan, l’Afrique du Sud, Oman, le Kazakhstan, le Pakistan, le Qatar, l’Irak, les Émirats arabes unis et le Sri Lanka assisteront à ces exercices en tant qu’observateurs. La Chine déploiera « un destroyer et un navire de ravitaillement », a indiqué le ministère chinois de la Défense sur le réseau social WeChat.
L’armée iranienne avait déjà mené en février des exercices militaires dans cette zone pour « renforcer les capacités de défense face à toute menace ».
La cheffe de l’US Navy virée par le gouvernement Trump : grand ménage au sein de l’armée américaine
Donald Trump a remplacé le chef d’état-major de l’armée américaine vendredi 21 février, son plus haut gradé. Dans la foulée, son ministre de la Défense Pete Hegseth a annoncé congédier Lisa Franchetti, à la tête de la marine américaine depuis novembre 2023.
Donald Trump a soufflé un grand coup sur ses armées vendredi 21 février en remplaçant le chef d’état-major de l’armée américaine, Charles Brown. Première victime d’une série de mouvements, le général nommé à ce poste en octobre 2023 par Joe Biden a vite été rejoint par l’amirale Lisa Franchetti. La cheffe de l’US navy, première femme à diriger l’armée américaine et faire partie de l’état-major interarmées, s’est fait congédier par le ministre de la Défense Pete Hegseth le même jour.
Lisa Franchetti, âgée de 59 ans, avait été nommée numéro 2 de l’US Navy en septembre 2022, puis numéro 1 un peu plus d’un an plus tard, en novembre 2023. C’est la deuxième femme amirale à subir le retour du président conservateur à la Maison Blanche. Dès son premier jour, Donald Trump avait congédié la commandante des garde-côtes Linda Fagan pour « attention excessive » accordée aux problématiques sociales.
D’autres mouvements à venir
Les mouvements en haut lieu vont se poursuivre. Outre le général Charles Brown, limogé par un simple message sur le réseau social Truth du président, Donald Trump a demandé au ministre Hegseth de présenter des nominations pour cinq autres postes de hauts responsables, qui seront annoncés bientôt
.
En novembre dans un podcast, avant de devenir le chef du Pentagone, Pete Hegseth militait déjà pour se séparer du général Brown, en considérant qu’il fallait que tout haut responsable militaire associé à quelque politique woke de merde, pro-diversité, égalité et inclusion, que ce soit
s’en aille.
Discrimination dans l’armée.
Après la mort en 2020 de George Floyd, un homme afro-américain tué par la police, qui avait provoqué une immense vague de manifestations antiracistes dans tout le pays, le général Brown avait raconté dans une vidéo son expérience personnelle de discrimination dans l’armée américaine.
Je pense à ma carrière dans l’armée de l’air, où j’ai souvent été le seul Afro-Américain dans la pièce, le seul dans mon escadron ou haut gradé. Je pense à la pression que je ressentais de ne pas avoir le droit à l’erreur, en particulier de la part de supérieurs dont je sentais qu’ils attendaient moins de moi en tant qu’Afro-Américain
, s’était-il livré.
L’armée de l’air aussi concernée
Outre le général Brown, qu’il décrit comme un conseiller avisé
, et l’amirale Franchetti, Pete Hegseth annonce dans son communiqué mettre un terme aux fonctions du numéro 2 de l’armée de l’air, le général James Slife.
Aux commandes de la puissante armée américaine, Donald Trump a choisi de nommer Dan Caine, un militaire issu de l’armée de l’air, dernièrement un des directeurs aux affaires militaires à la CIA.
Pendant mon premier mandat, il a joué un rôle déterminant dans l’anéantissement total de l’État islamique
, affirme le président républicain, qui loue un pilote chevronné, expert en sécurité nationale, entrepreneur à succès, et un ’guerrier’ avec une solide expérience en matière d’opérations spéciales et de travail entre services
.
Sa mission sera de restaurer la paix par la force, prioriser l’Amérique et reconstruire notre armée
, fixe le milliardaire new-yorkais.
À la fin de son premier mandat, Donald Trump avait nommé Charles Brown à la tête de l’armée de l’air, en faisant le premier Afro-Américain à accéder à cette responsabilité.
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