Montpellier : une quarantaine d’activistes pro-palestiniens ont occupé le Théâtre de la Vignette.
Une quarantaine d’activistes ont perturbé une représentation donnée vendredi soir, au Théâtre de la Vignette, avenue du Val de Montferrand, sur la route de Mende, à Montpellier, occupant les lieux pendant trois heures, avant de les quitter.
Il était 22h15, ce vendredi 7 mars 2025, quand des activistes d’extrême gauche se disant appartenir à la mouvance pro-palestinienne dans le conflit entre le Hamas et Israël à Gaza, ont investi le Théâtre de la Vignette, dans le quartier des hôpitaux-facultés, interrompant un spectacle devant de nombreux spectateurs. Ils avaient apporté des sacs de couchage et ont manifesté leur intention de rester toute la nuit.
La direction de l’Université de Paul-Valéry Montpellier 3 a alerté les services de la police nationale, qui ont informé le préfet de l’Hérault : il a pris dans l’urgence un arrêté d’évacuation. Environ cinquante policiers d’unités de Montpellier et de renforts des commissariats du département se sont positionnés aux abords du théâtre, afin de procéder dans un premier temps à une reconnaissance par des agents de la brigade anticriminalité -Bac- pour rendre compte de la situation dans le théâtre, où tout était calme.
Il a été décidé de gérer en douceur pour éviter des incidents : des membres de la direction de l’Université de Montpellier 3 ont donc longuement parlementé avec les manifestants, alors que les effectifs de police attendaient à proximité, prêts à intervenir.
Finalement, ces échanges ont été fructueux, puisque les activistes ont quitté les lieux à 1h15, en cette nuit de vendredi 7 à samedi 8 mars, sans avoir commis la moindre dégradation. Et sans avoir remarqué la présence des forces de l’ordre.
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Certes il n’y a pas eu de dégradation mais je considère que l’échange n’a pas été fructueux car cette horde de terroristes aurait dû être arrêté pour troubles à l’ordre public. Une fois de plus le laxisme et une certaine complaisance laissent libre cours à ces voyous pour réitère ces violences.
Une justice en France à géométrie variable…