Une organisation sioniste compile les noms des étudiants étrangers détenant un visa aux États-Unis qui ont participé à des manifestations contre le génocide israélien sur les campus – et espère que le président élu Trump les expulsera, selon le NewYork Post

Jusqu’à présent, le groupe, Betar, a environ 30 noms d’étudiants de pays tels que la Jordanie, la Syrie, l’Égypte, le Canada et le Royaume-Uni, actuellement inscrits dans certaines des meilleures universités du pays, dont Columbia, UPenn, Michigan, Syracuse, UCLA, The New School for Social Research, Carnegie Mellon et George Washington University, aurait indiqué Ross Glick, directeur de la section américaine de Betar au New York Post.

Le Betar se vante d’avoir identifié les militants anti-Israéliens en utilisant une combinaison de logiciels de reconnaissance faciale et de « technologie de base de données relationnelle » pour éliminer les personnes qui ont été arrêtées lors de manifestations sur les campus au cours de l’année dernière.
« L’un de nos problèmes est la puissance de traitement, il y a tellement de vidéos à traiter », a déclaré Glick.
Le Betar se déclare déjà en contact avec les « potentiels » candidats de l’administration Trump au ministère de la Justice pour savoir comment agir au mieux contre les personnes identifiées, a déclaré Glick.
« « Quand je serai président, nous ne permettrons pas que nos universités soient prises en charge par des radicaux violents. Si vous venez d’un autre pays et que vous essayez d’introduire le djihadisme, l’anti-américanisme ou l’antisémitisme sur nos campus, nous vous expulserons immédiatement », avait déclaré Trump lors d’un rassemblement en mai dernier.
» Mercredi, Glick était sur Capitol Hill pour rencontrer des législateurs, dont le sénateur pro-israélien John Fetterman (D-PA), et pour protester contre un vote du Sénat sur l’opportunité de lancer un embargo sur les armes contre Israël. Glick a également rencontré des collaborateurs des sénateurs républicains Ted Cruz et James Lankford », poursuit le journal américain
« Le Betar ne craint pas la controverse. L’organisation a été censurée sur Facebook, Instagram et WhatsApp en raison d’une blague qu’elle a faite sur la distribution de bips aux membres d’un groupe pro-Palestine de l’Université de Pittsburgh, faisant référence à l’attaque ciblée à la bombe par bipeur d’Israël contre les terroristes du Hezbollah au Liban. « , conclut ce torchon qui ose qualifier de « controverse » cette apologie de terrorisme.
Et qui fait l’amalgame, bien entendu entre rejet d’un gouvernement fasciste, génocidaire et antisémitisme.
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