Des familles palestiniennes déplacées sont obligées de vivre dans un cimetière à Deir Al Balah, dans le centre de Gaza, en raison du manque d’espace dans la ville surpeuplée et suite aux menaces de bombardement émises par l’occupation israélienne.
AIDE HUMANITAIRE TOUJOURS BLOQUÉE
Israël continue à bloqué l’entrée de l’aide humanitaire de l’ONU à Gaza. Sur les 21 derniers camions envoyés, seulement 10 ont été autorisés à entrer, et lors que leur déchargement à Gaza, plusieurs déchargements et distributions ont été bombardés.
Le risque de famine persiste dans toute la bande de Gaza. Une évaluation de la sécurité alimentaire soutenue par l’ONU avait précédemment averti que plus de 1,8 million de Palestiniens de la bande de Gaza souffraient de niveaux de faim « extrêmement critiques », avec 70 % des champs de culture détruits et des moyens de subsistance décimés pendant le génocide en cours.
La municipalité de la ville de Gaza rapporte que 75 % des puits d’eau et plus de 100 000 mètres de réseaux d’eau ont été endommagés depuis le début de l’agression israélienne en cours. La livraison d’eau est devenue difficile en raison de la destruction des systèmes d’eau et d’égouts par l’armée israélienne.
CAPJPO-Europalestine
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