Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap pour vous aider à y voir plus clair.
La nouvelle ministre de l’Education nationale a son idée pour remonter le niveau des élèves. Et pour la faire connaître, Anne Genetet a accordé lundi une interview à l’AFP. Dans celle-ci, elle explique notamment qu’à compter de juin 2027, l’obtention du Brevet en classe de troisième sera « obligatoire » pour passer en seconde. La ministre souhaite par ailleurs instaurer dès l’an prochain en 4e et en 3e « une heure par semaine en groupe de besoins », avec des effectifs réduits et en tenant compte des différents niveaux des élèves, soit en maths, soit en français, en alternance. Le lycée n’est pas non plus oublié par ces annonces : pour les élèves qui passeront le bac en 2027, une épreuve de bac de mathématiques sera instaurée en première à partir de juin 2026.
Si Donald Trump n’aura les clefs de la Maison-Blanche qu’à partir du 20 janvier, cela ne l’empêche pas de d’ores et déjà dévoiler le cadre de ce que sera son prochain mandat. Les nominations s’enchaînent en effet pour constituer sa future administration. Le président a ainsi choisi Elise Stefanik comme ambassadrice des Etats-Unis auprès des Nations Unies. Agée de 39 ans, elle est l’une des figures les plus visibles du Parti républicain sous l’ère Trump et est surtout très critique envers l’ONU. Lee Zeldin a quant à lui été nommé pour diriger l’Agence de protection de l’environnement (EPA). Ce républicain prévoit notamment de réduire les réglementations pour stimuler l’économie et renforcer la domination des Etats-Unis. Dimanche, c’est un autre proche de Donald Trump qui a obtenu un poste. Le président élu a annoncé le retour de Tom Homan, un tenant de la ligne dure, à la tête de l’agence responsable du contrôle des frontières et de l’immigration (ICE).
Pyongyang et Moscou sont officiellement militairement main dans la main. Alors que la guerre continue de faire rage en Ukraine, la Corée du Nord a en effet ratifié l’accord de défense historique avec la Russie, rapporte ce mardi l’agence officielle nord-coréenne KCNA. L’accord « a été ratifié sous la forme d’un décret » signé par le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un le 11 novembre, au lendemain de l’annonce à Moscou que Vladimir Poutine a également signé ce traité de défense mutuelle. Conclu au cours d’une rare visite du maître du Kremlin à Pyongyang, en juin dernier, ce traité entre ces deux pays, bêtes noires des Etats-Unis, prévoit notamment « une aide militaire immédiate » réciproque en cas d’attaque contre l’un des deux pays.
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