Découverte surprenante: l’arche de Noé a-t-elle été retrouvée ?
Une découverte intéressante a été récemment mise à jour. Le Dr Irving Finkel du British Museum, un expert chevronné de la culture mésopotamienne, a révélé des détails incroyables sur une ancienne carte babylonienne du VIe siècle avant JC, illustrant l’emplacement exact de l’arche de Noé.
Yehosef Yeavetz, D. Cheshon Hatshefa
De temps en temps, nous sommes informés de l’identification des restes de l’arche de Noé, quelque part dans les monts Ararat, entre l’Iran et la Turquie.
Il nous est difficile de savoir laquelle de ces identifications est réellement sérieuse, mais nous savons que dans les temps anciens, il y avait effectivement des restes d’une arche qui se trouvait dans un endroit connu, et de nombreux peuples anciens l’ont enregistré. Déjà dans la Guemara, il est dit qu’Haman prit un arbre de cinquante coudées de haut pour pendre Mardochée à l’arche de Noé. Un ancien historien babylonien nommé Birosus dit également que les restes de l’arche existaient à l’époque sur le mont Ararat et que les gens en prenaient des morceaux en signe de vertu et de bon signe.
Une découverte intéressante liée à la tablette a été récemment mise à jour. Le Dr Irving Finkel du British Museum, un expert chevronné de la culture mésopotamienne, a révélé des détails incroyables sur une ancienne carte babylonienne du VIe siècle avant JC, illustrant l’emplacement exact de l’arche de Noé.
La carte, gravée sur une tablette d’argile, est l’une des plus anciennes cartes du monde. En son centre apparaît la ville de Babylone, entourée d’un double anneau représentant le « Fleuve Amer » – l’ancienne frontière du monde connu. Mais le plus fascinant est ce qui se trouve au-delà de cet anneau: une série de triangles représentant des zones mystérieuses et lointaines, parmi lesquelles l’endroit où reposait l’arche de Noé.
Une découverte surprenante s’est produite lorsqu’une bénévole nommée Edith Horsley a trouvé une partie manquante de la carte. La reconstruction a révélé des détails de l’un des triangles connus sous le nom de « Grande Muraille », une zone décrite comme ayant de hauts murs et d’immenses arbres. D’après la carte, il s’agit de l’endroit où reposait l’arche de Noé, l’équivalent du mont Ararat mentionné dans la Bible.
Nous savons aujourd’hui que les Babyloniens ont parlé du déluge. Puisqu’ils en sont les descendants, ils devaient avoir une tradition en la matière. L’une des célèbres histoires babyloniennes s’appelle les « Contes de Galgamesh », dans laquelle l’arche et le déluge sont décrits. Une autre histoire s’appelle « Arthasus » et décrit également les mêmes événements.
Ce qui rend la carte de Babylone si spéciale, c’est le fait qu’elle constitue la première preuve cartographique décrivant l’emplacement exact de l’arche. La carte raconte non seulement l’histoire, mais offre également une sorte d’ancien « guide de voyage » vers l’endroit où, selon la croyance babylonienne, l’arche se trouvait encore à leur époque.
En fait, nous connaissons actuellement 217 cultures anciennes qui racontent le déluge, chacune sous son propre angle. Il y a bien sûr ceux qui ont ajouté leurs propres mots imaginaires, mais la base est une : il était une fois, dans les temps anciens, un grand déluge qui descendait du ciel, et seuls ceux qui étaient dans le grand navire qui avait été construit selon la parole de Dieu, nous avons été sauvés.
Il est intéressant de noter que parmi toutes les cultures anciennes, la culture cananéenne n’a pas d’histoire de déluge. Cela correspond à ce que disaient les Sages, à savoir qu’il n’y a pas eu d’inondation sur la Terre d’Israël.
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