Gaza, « ce n’est pas fini », comme dirait le génocidaire Meyer Habib

Le bilan des victimes du bombardement sur l’immeuble de cinq étages abritant des familles de réfugiés à Beit Lahiya, dans le nord de Gaza, s’est alourdi, avec au moins 109 morts, et 150 blessés, ainsi que plusieurs personnes non retrouvées sous les décombres

Malgré cela, Israel a continué à bombarder Beit Lahia mardi, faisant au moins 6 autres victimes dont des femmes et des enfants.

Israël continue de tirer des missiles et de larguer des bombes sur des civils et a encerclé environ 400 000 personnes dans le nord de Gaza, où il les prive de nourriture, d’eau et de médicaments, et détruit les rares installations médicales restantes dans le but de tuer les habitants locaux ou de les forcer à partir.

Israël a déclaré « terroriste » l’Unrwa, l’agence alimentaire de l’ONU pour les Palestiniens, ce qui revient à une sentence de mort pour les 13.000 travailleurs humanitaires de Gaza, qui voudraient continuer à aider les Palestiniens.

Les quelque 1,6 million de personnes du sud de Gaza sont également affamées, tuées, et beaucoup d’autres mutilées.

Ainsi, un quadcopter israélien a tiré une balle dans la tête d’un enfant palestinien de 10 ans, Abdul Rahman Al-Dahdouh, alors qu’il achetait des bonbons dans le camp d’Al-Maghazi, dans le centre de la bande de Gaza lundi.

Zeina Alghoul, une enfant palestinienne de neuf ans, qui faisait la queue pour obtenir de la nourriture pour sa famille lorsque les forces d’occupation israéliennes ont bombardé l’école Asmaa et l’ont tuée.