Donald Trump en pèlerinage sur la tombe du Rabbi
Lors d’une cérémonie commémorative marquant le 7 octobre, Donald Trump a réaffirmé son engagement à renforcer les relations entre les États-Unis et Israël, liant cet objectif à sa potentielle réélection. Dans son discours, prononcé lors d’un événement organisé à Miami, l’ancien président a déclaré que sous sa présidence, les liens entre les deux nations seraient « plus forts et plus étroits que jamais », mais uniquement à la condition qu’il soit à nouveau élu.
Présenté par Miriam Adelson, grande mécène du Parti républicain, Trump a insisté sur l’idée que les événements tragiques du 7 octobre n’auraient pas eu lieu si lui avait été à la Maison Blanche. Adelson a ajouté que des groupes tels que le Hamas, le Hezbollah, ou encore les autorités iraniennes, auraient hésité à agir de manière agressive face à ce qu’elle décrit comme la « force » de Trump, qui, selon elle, aurait pu les dissuader par son leadership ferme.
Trump a souligné l’importance de l’élection à venir, qualifiant le 5 novembre de date cruciale non seulement pour l’avenir des États-Unis, mais également pour celui d’Israël. « Ce sera la journée la plus importante de l’histoire des deux nations », a-t-il affirmé, ajoutant qu’il pensait sincèrement que cela marquerait un tournant décisif pour les deux pays.
L’ancien président a également abordé la question de l’antisémitisme, en soulignant que le Parti républicain n’était pas touché par ce qu’il a qualifié de « terrible maladie » et qu’il espérait que cela resterait ainsi tant qu’il serait aux commandes. Pourtant, bien qu’il ait condamné toute forme d’intolérance antisémite, Trump n’a pas directement critiqué les courants antisémites issus de l’extrême droite.
Pour Trump, ce qui est en jeu dépasse largement les simples relations diplomatiques : il appelle à un retour de la « force inébranlable » des États-Unis et d’un leadership fort, semblable à celui qu’il dit avoir exercé lors de son premier mandat. Il a évoqué la période durant laquelle il présidait en disant que les États-Unis étaient alors « puissants, respectés » et en mesure d’apporter la paix au Moyen-Orient.
La journée de Trump s’est achevée par une visite à Ohel, le lieu de repos du rabbin Menachem M. Schneerson, une figure emblématique du mouvement Chabad-Loubavitch, où il était accompagné de militants juifs, de responsables locaux et de la famille d’un otage américano-israélien.
Jforum.fr
Articles similaires
La rédaction de JForum, retirera d’office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.
La source de cet article se trouve sur ce site
Je pense que c’est un véritable ami d’Israël, j’ai pas du tout confiance en Kamala Harris qui est trop proche de Biden et Obama , on a vu tout le long de son mandat un coup , j’aime Israël un coup je suis contre Israël