« Nos relations se développent très bien« , s’est félicité Vladimir Poutine au début de leur entretien, alors que les tensions régionales font planer le spectre d’un élargissement du conflit.
L’Iran, soutien clé du Hamas, a mis en garde contre « la possibilité » d’une « explosion incontrôlable » au Moyen-Orient, tandis que les rebelles Houthis du Yémen, soutenus par Téhéran, ont menacé d’attaquer tout navire dans la mer Rouge se dirigeant vers Israël si la population de la bande de Gaza ne recevait pas l’aide dont elle a besoin.
Le chef du Conseil national de la sécurité israélien, Tzachi Hanegbi, a affirmé samedi que « si le monde ne s’occupe pas de ça, parce qu’il s’agit d’un problème d’ordre international, nous agirons pour mettre un terme à ce siège naval« .
Sur le front nord, Israël est en état d’alerte face au mouvement libanais Hezbollah avec lequel des échanges de tirs sont quasi-quotidiens depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas.
Le Premier ministre israélien a néanmoins salué les « efforts russes pour la libération d’un otage russo-israélien » parmi les 240 personnes enlevées par le Hamas le 7 octobre, et demandé à son interlocuteur « de faire pression sur la Croix-Rouge pour faciliter des visites et des médicaments » aux quelque 137 otages restant détenus à Gaza, selon le communiqué.
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